Piastri sur la culture McLaren : "Toujours optimistes"

"Dès que j'ai rejoint l'équipe, j'ai senti qu'il y avait une très bonne culture qui m'accueillait très bien", dit l'Australien de 22 ans. Il poursuit : "Même quand les temps étaient durs, tout le monde était encore très motivé pour essayer d'améliorer la situation, que ce soit les gens de l'équipe de course, les gens du bureau d'études, qui que ce soit, ils restaient toujours optimistes.''

Confiance

"La confiance que nous pouvions renverser la situation était agréable à voir. Il y avait quelques points d'interrogation lorsque nous avons installé les améliorations sur la voiture en Autriche et à Silverstone, et nous nous demandions si elles nous donneraient le genre de gains que nous espérions - et c'est ce qu'elles ont fait", a déclaré le débutant. Lorsqu'on lui a demandé ce que la culture signifiait pour lui, il a indiqué qu'il s'agissait de choses simples : ''Comme la convivialité de l'équipe.''

Une équipe

L'équipe McLaren travaille bien ensemble, selon Piastri : "En F1, et dans le sport automobile en général, vous avez le potentiel d'avoir une division des deux côtés du garage, et ce n'est absolument pas le cas ici. Nous travaillons tous ensemble comme une seule équipe, en essayant de nous aider les uns les autres, en commençant par Lando et moi-même qui essayons de nous aider les uns les autres, jusqu'à tous les ingénieurs et les mécaniciens.'' Selon Piastri, la culture est tellement bonne qu'il est allé faire une partie de tennis avec le patron de l'équipe , Andrea Stella, entre les GP du Mexique et du Brésil : ''C'est toujours agréable d'avoir ce genre de choses''. ''Qui a gagné au tennis, il n'aime pas l'admettre : ''Nous n'avons pas joué un match, nous nous sommes juste ralliés - mais Andrea a définitivement gagné !''.